Une petite interview bien sympa que m’a faite Anne du blog Papilles et Pupilles.
C’est sur le site l’astuce en plus de Maïzena.
Pourquoi, comment, quoi, où?
Des questions et des réponses en une interview.
Cliquez par là et surtout par ici les amigos!
Ce vendeur de pancakes m’a beaucoup intrigué. Pourquoi? Je n’en sais rien!
Peut-être parce qu’il était très concentré sur sa préparation de pancakes? Vous vous interrogez peut-être sur les conditions sanitaires? C’est sûr que depuis 2 mois que je circule en Asie, celui-là n’était pas le mieux organisé, mais il avait l’air vraiment très gentil même si je crois que je le stressais avec ma caméra.
Pour vous dire la fin, j’ai pas goûté à ses pancakes, d’abord parce qu’il y avait marqué « blé » sur un des cartons qu’il utilisait et que j’ai envie de bien profiter de mon voyage sans tracas liés à ma sensibilité au gluten et puis … comment dire, je n’étais pas en…confiance. Pourtant, j’en ai mangé de de la street food en Asie depuis le 26 juin 2013!
Vous avez envie de voir à quoi ressemble Kuala Lumpur? « A day in Kuala Lumpur » ma vidéo que j’ai posté sur mon blog de voyage est ici [clic ici]
Bises à tous,
Nathalie
Le clou de girofle c’est une super épice pleine de super pouvoirs. Mais ça, vous le savez déjà puisque vous avez lu dévoré, l’article que j’ai traduit spécialement pour vous hier. Vous ne l’avez pas encore lu? Cliquez vite là, et revenez ici pour la mise en pratique, je vous attends.
Pour cet atelier pratique vous avez besoin
A partir de maintenant, je traduis l’article de Hedy Hasbullah, que j’ai trouvé dans la revue malaisienne Dreamcatcher.
La rage de dents
Mauvaise haleine
Toux
L’asthme
Douleurs d’estomac
Les crampes musculaires
L’acné
Information importante: tous les remèdes indiqués sont à but informatif. Prenez s’il vous conseil auprès de votre médecin avant de suivre les remèdes indiqués ci-dessus.
Maintenant le savoir est avec vous! J’avoue que le passage sur la toux m’a laissée un peu circonspecte…mais ça vaut peut-être le coup d’être essayé pour soulager en complément d’une solide prescription médicale.
Quand j’ai lu cet article sur le clou de girofle et ses bienfaits, je ne vous cache pas que je me suis dit:
Je suis en Malaisie depuis 10 jours, et si mon moi est rude avec moi, j’ai quand même pas pas arrêté. Il y a eu les visites, les déplacements, le travail, la vie de famille qui continue même en voyage, 365 days in paradise le blog de voyage, et les réservations de billets de bus, de bateau, d’avion, d’hotels, les demandes de visas….ref, je suis au taquet!
Ohla! N’allez pas penser que je me plains, mais si vous croyez que je bulle sur la plage toute la journée un cocktail à la main, vous vous trompez complètement.
Hier, je suis tombée sur cet article, super intéressant sur les vertues du clou de girofle. Il est écrit par Hedy Hasbulla une malaisienne-thai-Indonésienne-arabe à la fois. Avec un tel pédigrée, ses ascendants devaient être de sacrés voyageurs! Son adn, un vrai melting pot culturel lui offre d’avoir certaines connaissances sur le clou de girofle, comme quoi…
Son article « se soigner avec le clou de girofle » est paru sur la revue Malaisienne « Dreamcatcher ». Certains points sont parfois un peu techniques et je tiens à vous prévenir tout de suite, je n’ai pas la compétence professionnelle pour les valider ou les contre-dire mais je les testerai c’est sûr!
Le clou de girofle (syzygium aromaticum), doit être une des plus anciennes épices aromatiques contenant des éléments thérapeutiques. Le bouton floral séché de l’arbre de la famille du Myrtacae qui pousse en Inde, au Sri Lanka, Indonésie, Pakistan et aussi à Madagascar est utilisé à des fins thérapeutiques.
Le clou de girofle est toujours en haut de la liste des épices à la forte concentration d’anti-oxydants. Il contient de l’eugenol, de la carophylin [note de MNG: je n’ai trouvé aucun lien, mais comme c’est dans l’article, s’il y a des spécialistes pour m’éclairer…je suis preneuse] et aussi de l‘acide gallique. Il freine l’oxydation du LDL-cholesthérol, une étape précoce de l’athérosclérose, une des conditions qui fait que la paroi de l’artère s’épaissit et qui se traduit par l’accumulation de cholestérol et de triglycérides.
Les clous de girofle sont également une excellente source de calcium, de manganèse et de fibres. L’Eugenol, un des principaux composants présent dans le clou de girofle lui donne les propriétés anti-oxydantes et anti-inflammatoires qui font de lui une super épice.
Qu’on l’appelle Lavang, laung (Hindi), Shriisanjnan, Lavanga (Sanskrit) ou encore Cengkih (malaisien), cette épice est devenue un élément essentiel de la plupart des plats asiatiques car il est riche en Vitamine A, K, et C, c’est également une source de potassium et de fer. Utiliser les clous de girofle lors de la préparation des plats permet de se protéger, dans une certaine mesure contre les intoxications alimentaires.
Les clous de girofles ont pendant longtemps été considérés comme un remède de grands mères dans la plupart des régions d’Asie pour les maux de dents, les douleurs articulaires, les indigestions, l’asthme, la toux, les problèmes de peau et aussi le mal de tête. La médecine chinoise traditionnelle utilise des clous de girofle de façon intensive pour traiter les affections respiratoires, les infections fongiques, et aussi les troubles digestifs. D’autres cultures ont également reconnu l’usage du clou de girofle dans leurs pratiques médicinales en raison de ses propriétés anti-microbiennes, anti-septiques, anti-spasmodiques, carminatives, expectorantes, désinfectantes, gastriques, et stimulantes.
Fin de la première partie!
A demain!
Depuis le 26 juin 2013 que je suis partie à la découverte de l’Asie en famille [clic ici pour suivre mon blog de voyage] le temps passe très vite. Nous sommes partis tous les 4 avec nos sacs à dos, notre première destination, Bali! Nous connaissions déjà cette superbe île, c’est pourquoi, nous avons repris nos habitudes de notre dernier voyage, manger dans les boui-boui où seuls les balinais mangent. C’est au bord de la route entre Ubud et Candidasa que nous nous sommes arrêtés. Les gens étaient très surpris et contents de nous voir. Seul un d’entre eux parlait un petit peu l’anglais. Il nous a dit « c’est de la vrai nourriture balinaise ». Je ne saurais pas trop vous dire ce que c’était, des nouillles de riz bleues, des boulettes de viandes très compactes qui apparemment étaient du boeuf, des herbes et une sauce, rouge qui pour le coup, c’est sûr était préparée à base de chilli. Très très épicée! Le tout était sans gluten, ça c’est sûr!
Nous nous sommes assis avec les gens, avons essayé de manger notre repas, mais c’était ultra épicé! Le plaisir était de communiquer par des sourires, des gestes… Les gens étaient là pour pêcher dans une mare très boueuse de petits poissons qu’ils laissent dans de l’eau pendant une semaine et après les font frire pour les manger.
En Indonésie, c’est le ramadan, mais Bali est une île majoritairement hindouiste, donc le ramadan n’est pas suivi.
Une fois notre repas fini, nous avons dit au revoir à tout le monde, puis nous avons repris notre route.
Bali le 15 juillet 2013
