Power bonheur! [from Bali]

happy

Ces petits riens qui ont boosté mon plaisir aujourd’hui…

1. De délicieux fruits du dragon [pitaya] bien frais, achetés hier au bord de la route qui mène à Uluwatu à une gentille balinaise qui ne parlait pas l’anglais. Elle nous montrait un billet pour nous indiquer le prix, nous on lui en montrait un autre pour négocier à la baisse. Ca l’a beaucoup amusé!

2. Du chocolat bio balinais de Balangan: amandes, choco à 88% sur une couche de noix de coco grillée et râpée. Un pur bonheur!

3. la découverte de la revue Happinez, c’est le N°2, mars/ avril 2014, certainement  laissé par un locataire français nous ayant précédé de peu [merci, vous faites une heureuse!]. Un magazine « féminin/ positif/ inspirant. J’ai pas tout lu, mais pour l’instant, génial!

4. article à lire: un petit pas peu changer votre vie… je n’en doute pas et j’ai hate de le lire, en croquant dans le chocolat [n°2] et en buvant un thé vert mangue/vanille (n°5) que j’ai rapporté d’Inde. Zen.

5. Pour finir, j’ai téléchargé hier le dernier livre de Florence Servan-Schreiber, « Power Patate » que je dévore. « Détectez vos super pouvoirs et utilisez-les » un livre de psychologie positive. Le livre commence par cette citation:

« On a deux vies, la seconde commence quand on se rend compte qu’on en a qu’une. » Confucius

A vous de découvrir le reste!

powerpatate

Pour commander le livre papier ou le télécharger, c’est par là juste dessous!

Psychologie positive on en redemande!

Si vous ne l’avez pas encore lu, du même auteur: je l’ai lu à sa sortie il y a 2 ans, ce livre est un booster, vous n’en sortirez pas indemne…de bonheur! Foncez!!!
* 3 kifs par jour (et autres

* L’apprentissage du bonheur de Tahal Ben Shahar

Je l’ai lu il y a deux ans, juste après 3 kifs par jour, qui me l’a fait découvrir. Ce que je peux en dire? C’est un petit livre de poche dont le prix est ridiculement bas par rapport au bénéfice qu’il vous apportera. J’ai lu, j’ai fait, j’ai réalisé! Vous avez dit Bonheur?

Ma première Kindle n’avait pas d’écran éclairé, ça limite les moments de lecture. Pour mon anniversaire j’ai eu le bonheur de recevoir la Kindle paper white. Le pied! Je peux lire partout au soleil sur la plage, dans le train de nuit, au lit sans avoir besoin de lampe de chevet (c’est pas leur fort en Asie les lampes de chevet qui éclairent!). Un bijou de technologie qui nous permet de partager tous les 4 (mon mari, mes deux filles et moi) la même bibliothèque et de lire parfois le même livre en même temps comme par Power Patate, et d’en parler. Sympa.

On est accros à nos Kindle! Vous n’en avez pas encore une? Renseignez-vous c’est vraiment génial, vous transportez en permanence toute votre bibliothèque. J’ai des romans, des livres de développement personnels, des livres de cuisine, de marketing, et je passe de l’un à l’autre où que je sois sur la planète. J’ai téléchargé des livres, des extraits pour être sûre d’avoir envie de lire, j’en ai renvoyé aussi. C’est souple et vraiment pratique.

Etre à Bali et manger sainement…enfin!

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salade de choux et d’avocat à l’huile d’olive toute simple

Me voilà à Bali, oui, encore Bali, car j’aime tout particulièrement cette île, surtout à cette période. Aller à Bali au mois d’Avril c’est comme visiter l’Europe en Juin ou en Septembre. Il fait beau, il fait même chaud (31°C) mais ce n’est pas la très haute saison. On peut donc négocier les prix, aller dans de super endroits difficilement accessibles en pleine saison et circuler également plus facilement.

Après presque un mois et demi en Inde où il fut assez compliqué de m’alimenter, je goûte au plaisir de faire le marché, de préparer les repas et de manger des salades et même… de mettre du fromage dans mes salades.

En Inde, à moins d’avoir un système gastrique digne d’un sanibroyeur, il vaut mieux faire attention à ce que l’on mange. Au début du séjour ce fut compliqué. Je m’alimentais de chapatis me disant qu’au moins, je ne choperai pas d’amibes ou autres réjouissances que vous réservent l’Inde.  J’ai donc commencé à gonfler, gonfler, gonfler associé à mes douleurs habituelles dûes au gluten, j’ai dû changer ma stratégie alimentaire. Je me suis rabattue sur le riz au cumin le midi, et la raita, un yaourt au légumes le soir. Ce n’est que le jour où nous avons été invités  à Jaipur dans un endroit très chicos que je me suis dit « waouw des tomates mozza, ici je peux relâcher ma parano alimentaire, je suis en terrain sûr ». J’ai passé la journée suivante au lit à me maudire.

Ici à Bali, je n’hésite pas à acheter des Satay (brochettes grillées) dans la rue, à manger des légumes, des fruits et bonheur de l’île à boire de délicieux jus de fruits, passion, mangue, banane, goyave qui me transportent de bonheur. Le pied, quel sentiment de liberté je ressens ici!

Vraiment, j’aime Bali!

Stylisme culinaire en Thailande

J’aime beaucoup le stylisme des plats dans des endroits raffinés en Asie, notamment en Thailande et en Indonésie. Il y a toujours un petit détail coquet, qui éveille les papilles et inspire notre créativité.

Ce sont les photos d’une revue Thailandaise de Koh Samui. Les chefs ne sont pas tous Thai, ils viennent aussi d’Europe ou d’Australie. J’aime les couleurs, l’utilisation toute simple de pétales de rose. Ces photos m’ont donné plein d’idées à adapter avec nos produits, nos matières premières.

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poisson

brochettes

thon

couronne

Et vous, ça vous ouvre le chakra de la créativité? 🙂

A bientôt, ailleurs en Asie!

 

Cake au rapadura sans gluten de Marlette [test]

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J’ai été faible …. faible et gourmande…[soupirs, longs soupirs].

J’ai failli, oui, oui j’ai succombé, oui je suis tombée sous le charme du packaging réussi de Marlette, à la promesse de gourmandise  du nom « cake au rapadura au sucre de canne complet » à l’assurance santé  » préparation bio – sans gluten  » et à la curiosité, oui à la curiosité…

sansgluten

Et pour quelqu’un qui a écrit un livre qui s’appelle « Tout le monde aime mes cakes sans gluten » 50 recettes salées et sucrées, ça veut dire quelque chose.

Alors…

Est-ce qu’il est bon ce cake?

Oui, il est bon, le petit goût de rapadura et de sucre de canne est fort agréable. Il est légèrement croustillant à l’extérieur et moelleux à l’intérieur. Bref, il tient ses promesses gustatives.

coupe

Est-il facile à faire?

Oui, il suffit d’ajouter les oeufs, le lait et le beurre indiqués à la poudre du sachet et à verser le tout dans un moule à cake.

Est-ce que ça vaut le coup?

Là, je suis plus partagée. Le prix du sachet est entre 8€70 et 10€80, + 2 oeufs/ 0,80 cts 0,40 cts l’oeuf bio) 100 g de beurre bio environ 2 € , + 10 cl de lait bio env. 0,15 €, soit environ 13€60 le cake. Pour un cake pour 6 personnes, ça fait cher la part.  Avec à peine plus vous pouvez acheter la totalité des ingrédients qui composent le sachet mais en conditionnement de 500 g et faire 5 cakes.

Cette préparation est donc une question de moyens financiers ou de fréquence. Je m’explique.

  • Si vous n’utilisez des farines sans gluten qu’exceptionnellement (en l’occurrence de la farine de riz), ou si vous ne voulez pas avoir à chercher les différents ingrédients cette préparation vaut le coup d’être achetée, car elle est bien.
  • Si vous avez de la farine de riz, de la fécule de tapioca de la gomme de xanthane et de l’arrow root, vous pouvez faire exactement la même chose, pour beaucoup moins cher.

Si vous voulez des recettes de cakes…

Qu’il-y-a-t-il dans le sachet?

enregistrer

  • Composition : Farine de riz complet*, sucre de canne intégral Rapadura* (24%), sucre de canne blond*, farine d’arrow-root*, fécule de pomme de terre*, fécule de tapioca*, poudre à lever*, gomme xanthane, sel de l’île de Ré. (*) Issu de l’agriculture biologique. Garanti sans gluten. Fabriqué dans un atelier qui utilise des fruits secs et du sésame.

Cuisinons

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melange

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Enfournez 35 mn à 180°C

fini

 

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Délicieux sucre de palme en Birmanie

La route est droite, en pas trop mauvais état. Après les 20h passées dans le train de nuit cahotique entre Yangon et  Bagan, tout trajet nous semble être « business class ».

Nous sommes au centre de la  Birmanie, pardon, depuis 2010, en République de l’Union du Myanmar. Nous devrions atteindre Mandalay dans 6 heures si nous sommes chanceux, peut-être 10h si nous le sommes moins, pour parcourir environ 200 km.

Mon regard est attiré par de courtes échelles accrochées en haut de certains palmiers tout au long de la route.

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Puis, je commence à voir des zébus, genres de boeufs à bosse, qui tournent en rond, derrières eux souvent un enfant de 8/ 10 ans est posé sur une petite plate-forme tractée par l’animal.

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enfant

« Can you stop please? » je demande à notre chauffeur.

On s’approche. Il s’agit de fabriques à sucre de palme. Le travail, comme partout au Myanmar est extrêmement artisanal. Rien n’est motorisé, les constructions sont en bois. Ici tout se fait en famille.

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On nous explique très gentiment comment est faite la production. Ils sont auto-suffisants, c’est à dire qu’ils produisent tous les produits qu’ils utilisent et utilisent tout ce qui est utilisable dans chaque produit.

Je commence par découvrir les cacahuètes, cultivées dans le champs, puis torréfiées sur place dans des fours en terre qui fonctionnent au bois. Vous le saviez que les cacahuètes étaient des racines? Je ne m’étais jamais posée la question! Les cacahuètes en Birmanie ont la particularité d’être toutes petites et très croquantes. Elles sont délicieuses.

cacahuetes

Puis on nous montre comment est récolté le sucre de palmier. On a remarqué que souvent ce sont les femmes qui exécutent les travaux dits difficiles pour nous comme porter du poids, faire les routes, casser des pierres… Là il s’agit de monter en haut des palmiers qui atteignent jusqu’à 35 mts. Une fois en haut, il faut pratiquer à la machette des incisions sur une sorte d’épis (spadices), puis à fixer des pots en terre pour recueillir la sève qui s’en écoule.

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Cette sève est sucrée. Elle est consommée fraîche, mais elle est aussi mise à fermenter, pour produire du vin de palme puis après distillation du vin, de l’alcool.

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Ce jus de palme est également cuit de longues heure pour être transformé en une pâte  qui une fois refroidie, donne un pain de sucre non raffiné. Cette pâte est également mélangée à du coco, ou des cacahuètes on encore des graines de sésames pour faire de délicieux petits bonbons. Sont aussi confectionnés des bonbons sous forme de petits palets fins et friables appelés bonbons au tamarin qui sont du tamarin mélangé au sucre de palme. On en achètera souvent pour les offrir pendant notre voyage au Myanmar.

Sur mon blog de voyage http://www.365-days-in-paradise.com vous pouvez découvrir des photos et des vidéos de mon voyage de un an en Asie. J’espère bientôt pouvoir publier ma vidéo sur Mandalay (mon logiciel de montage bug comme un fou en ce moment). Vous pourrez y découvrir la récolte et les différentes productions à base de sucre de palme et plein d’autres jolies images sur  la route de Mandalay et sur la région.